La gestion des émotions en période de crise

L’approche de la gestion mentale, en entreprise et dans le sport, a pris ses racines dans les années 70. Elle a été influencée par des disciplines telles que la sophrologie et la cybernétique appliquée au cerveau. À cette époque, diverses méthodes se sont entremêlées pour former un ensemble cohérent visant à atteindre des objectifs tout en surmontant les obstacles.

Un tournant majeur est intervenu avec l’avènement de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique), qui a codifié les systèmes de pensée pour les rendre plus efficaces. Cependant, l’une des notions les plus cruciales dans la gestion mentale est celle de l’imagination.

L’imagination précède l’action

Il est essentiel de comprendre que l’imagination est plus puissante que la volonté. Lorsque l’imagination et la volonté s’opposent, c’est l’imagination qui l’emporte. Le cerveau ne distingue pas clairement entre ce qui est imaginé et la réalité.

L’étincelle de toute action émane de l’imagination. Tout ce qui existe autour de nous a germé dans l’esprit d’une personne. Cette notion est fondamentale pour la suite de cet article. Gardez-la en mémoire.

Imagination/raison

Imaginons un conflit interne, où deux forces opposées se confrontent : l’intégrité physique et le désir de gratification. Prenons un exemple : on vous propose 1 million d’euros en échange du fait de poser votre main sur une plaque de cuisson chauffée à blanc pendant une minute.

Deux systèmes entrent en opposition : le désir de gain rapide et la peur des conséquences. Cela me rappelle la situation d’un professeur qui punissait les élèves en tapant sur leurs doigts. Si l’enfant retirait sa main, la punition était doublée. Parfois, les leçons les plus cruciales s’apprennent rapidement. J’en ai fait les frais.

Le Pouvoir de l’imagination

Le pouvoir de l’imagination est considérable. Dans des situations extrêmes, même la simple description sensorielle des sévices à venir peut suffire à obtenir les informations recherchées. Une description précise, riche en détails, stimule puissamment l’imagination. À ce niveau, ce n’est plus la rationalité qui est aux commandes, mais le système limbique ou le tronc basal, liés à la survie.

Prendre soin de ses émotions

Quelle que soit l’émotion que vous ressentez, agréable ou désagréable, prendre des décisions sous son influence peut s’avérer préjudiciable. En effet, les émotions, même positives, court-circuitent le cortex préfrontal lié à la rationalité.

Les émotions sont une composante fondamentale de l’être humain, et il est essentiel d’apprendre à les gérer pour les utiliser dans des moments difficiles. Dès que vous vous sentez submergé par une émotion, prenez du recul et attendez un moment avant de prendre une décision ou d’agir, car les impulsions sont rarement de bons conseillers.

Ce processus de gestion émotionnelle est essentiel tant pour les entrepreneurs confrontés à des défis commerciaux que pour les sportifs qui doivent maintenir leur calme et leur concentration, surtout en période de crise.

 

Comment créer de la motivation à volonté ?

Pour stimuler l’inspiration et la motivation et l’insérer dans votre vie quotidienne. Vous devez intégrer le fait que ces énergies sont le starter. Le démarreur ne fait pas tout, une fois que le véhicule est démarré, si vous ne passez pas les vitesses, vous n’avancez pas.

Les sources de la motivation.

Nous avons tous lu, des citations, des ouvrages, vu des vidéos qui nous ont inspirés. Certaines biographies apportent cet ingrédient qui s’éteint presque aussi vite qu’il est créé.

Qui n’a pas assisté à une réunion et en est ressorti gonflé à bloc, prêt à accomplir l’impossible ou à adhérer à un projet quelconque et puis une fois rentré chez soi, se dire « dans quel guêpier je me suis fourré ».

La confusion entre la motivation et l’excitation

L’excitation est un feu de paille qui s’éteint dès que le carburant est brulé. La motivation, c’est le feu de bois qui vous enveloppe d’une chaleur réconfortante sans que vous ayez besoin de le réalimenter sans cesse.

La différence entre la volonté et la motivation

La volonté est un effort mental. Comme tout effort, il a une durée variable de courte durée. Essayez de courir un sprint pendant 1 heure.

Dans la salle de sport que je fréquente, un homme d’une trentaine d’années expliquait qu’il s’astreignait à pratiquer du sport et qu’il le faisait tous les jours pour retrouver la forme, mais qu’il détestait s’entrainer. À votre avis, combien de temps va-t-il tenir avant d’oublier ses engagements.

L’ingrédient suprême de la motivation

Le secret des secrets, peu de gens en parle, pourtant cet élément est essentiel, je m’en nourris dès le matin au réveil. Je dirais même que c’est lui qui me pousse à me lever et à m’activer tout en me procurant une grande énergie.

Cet agent particulier est le plaisir. La joie de passé à l’action, de m’activer, de créer, de bouger. Si vous ajoutez cet élément à votre vie, vous accomplirez vos tâches avec fluidité.

Je précise ici que ce n’est pas l’action qui procure du plaisir, mais le plaisir qui conduit à se mettre en mouvement. Je vous parlerai plus tard dans cet article du deuxième ingrédient qui sublime le premier.

L’auto-motivation

Vous pouvez écouter les meilleurs motivateurs du monde ou prêter l’oreille à votre meilleur coach qui se trouve à l’intérieur de vous.

Puisez dans vos souvenirs, remémorez-vous des souvenirs de plaisir et comment cette énergie tourne en vous, comment elle modifie la respiration, affecte la posture. Imaginez ce plaisir au moment de votre lever, au déjeuner, au travail, dans votre couple, dans chacune de vos activités. Amplifiez-le jusqu’à ce qu’il vous submerge

Beaucoup d’entre nous attendent que l’extérieur s’améliore ou se dise quand j’aurai atteint cela, ce sera super, je serai vraiment heureux, seulement une fois atteint, d’autres préoccupations les accaparent.

Gérez les imprévus et l’inévitable

Le quotidien personnel et professionnel est jalonné d’imprévu. Cela étant dit, 2 choix se présentent, vous pouvez décider de vous énerver ou décider que ce sont les aléas de la vie et vous mettre en mode solutions.

Vous pouvez également décider de prendre du plaisir, y compris dans les situations qui ne vont pas dans le sens que vous souhaitez. Tout simplement parce qu’ils font partie du jeu. Je sais que cela va heurter certain. Je ne vous demande pas de l’expérimenter, maintenant. Réfléchissez aux bénéfices que vous en tireriez si vous manifestiez plus de plaisir dans ces moments particuliers.

Développer une forme d’humour permet de dédramatiser les situations. Et si vous imaginiez toutes les épreuves possibles et imaginables tout en expérimentant la joie et le plaisir que se passerait-il de nouveau et différent ?

Apprécier le chemin est plus important que d’atteindre la destination et surtout il nous parait beaucoup plus court.

Votre vie est un chemin, si le plaisir et la joie vous accompagne, vous n’aurez aucun regret.

 

 

Faut-il croire pour réussir ?

Dans les milieux Dans l’univers du développement personnel, on entend souvent des gens clamer : « Pour réussir, il faut y croire ! Développez votre confiance en vous ! »

Bon, c’est bien joli tout ça, mais soyons réalistes, il ne suffit pas de croire pour que les choses se réalisent. La vraie recette du succès, c’est de s’activer, de semer quotidiennement des graines et ensuite de récolter les fruits de son labeur.

Vous connaissez sans doute cette fameuse citation « Il faut le voir pour le croire. » Eh bien, c’est exactement ce qui se passe. Les gens se mettent au travail, accomplissent des tâches, et au fil du temps, ils découvrent des compétences et des talents dont ils ignoraient l’existence, ce qui booste leur confiance.

Récemment, Karine, l’une de mes clientes, est venue me voir en se plaignant d’un manque de confiance. Je l’ai questionnée à ce sujet, et elle m’a laissé entendre qu’elle se sentait stressée, pensant qu’elle n’avait pas les compétences nécessaires pour effectuer le remplacement d’une collègue absente.

Alors, je lui ai sorti une petite perle : « Donc, en gros, ce que vous voulez, c’est avoir la compétence de votre collègue, avec 10 ans d’expérience, du jour au lendemain ? »

La formulation était tellement absurde que nous avons éclaté de rire. Elle a alors compris que pour se sentir bien en faisant quelque chose de nouveau, il fallait commencer par le faire, et non simplement y croire.

On apprend en faisant, pas en croyant. Une fois que vous avez effectué le premier pas, vous réalisez que vous pouvez en faire davantage, et c’est là que la confiance germe.

Imaginez un enfant qui apprend à marcher. Il trébuche, se relève, et petit à petit, il devient plus stable et sûr de lui. À aucun moment, il ne se dit : « Je crois que je peux marcher. » Non, il essaie encore et encore jusqu’à ce qu’il réalise qu’il peut le faire. La confiance naît de l’expérience, pas de la simple croyance.

Il est intéressant de comparer les 2 idées : L’expérience qui génère de la croyance en vos capacités et la croyance en la capacité d’apprendre.

 La capacité d’apprendre est inhérente à chaque individu, par contre la réussite dépend de votre investissement.

Comme le répétait un grand maître, ne développez pas trop l’espoir d’atteindre l’éveil, pratiquez, pratiquez et encore, pratiquez.

Comment combattre la charge mentale ?

La surcharge mentale, un état qui touche un grand nombre de personnes, en particulier les femmes.

C’est une problématique complexe associée à un désir ardent de tout gérer à la perfection.

Imaginez une fresque mentale, où chaque nuance de la charge mentale est une couleur vivante. Vous voyez des personnes jongler avec une multitude de responsabilités, tels des jongleurs qui manient des objets variés.

 Ces objets symbolisent les différents aspects de leur vie, et dans les mains de ces experts, ils semblent danser avec fluidité, mais leur système nerveux est suractivé.

Cependant, comme un débutant qui essaie d’imiter ces artistes talentueux, la réalité se manifeste. Coordonner toutes les tâches devient vite épuisant, le cerveau atteint rapidement la saturation.

Le phénomène, naturel dans la période d’apprentissage, peut devenir perturbant lorsque la surcharge mentale devient chronique. Notre cerveau n’est pas conçu pour gérer plusieurs activités simultanément.

Chacun de nous est unique, et la manière dont nous réagissons au stress varie d’une personne à l’autre. Apprendre à prendre du recul face à la surcharge mentale est un processus d’apprentissage. Il existe des techniques pour calmer ce tourbillon mental, mais elles ne nous sont pas enseignées à l’école.

Pour rétablir l’harmonie, commencez par mettre en pause vos appareils électroniques. Fermez les yeux un instant et respirez profondément. Ressentez la sensation de calme qui vous envahit.

Pratiquez l’art de l’ennui, permettez à votre cerveau de se réinitialiser et de se ressourcer. Laissez le calme vous envelopper comme une douce brise.

L’anticipation est un signe d’intelligence. Avant de répondre à un appel ou de réagir à un e-mail, faites un STOP. Prenez une grande inspiration, évaluez la situation, réfléchissez aux avantages de chaque action que vous devez effectuer, puis passez à l’action de manière éclairée.

Reconnectez-vous à votre corps, de la tête aux pieds. Prenez conscience de chaque partie de vous, ressentez la vie qui circule en vous. Incarnez pleinement votre corps, ancrant votre conscience dans l’ici et maintenant.

Enfin, fermez les boucles. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi votre esprit revient sans cesse à des tâches inachevées ? C’est l’effet Zeigarnik, qui signifie que votre cerveau conserve en mémoire les tâches non terminées. Imaginez-le comme des fenêtres ouvertes sur un ordinateur, et plus vous en ouvrez, plus il devient difficile de se concentrer.

Apprenez à terminer ce que vous commencez. Fermez les boucles mentales pour permettre à votre cerveau de se libérer. La fatigue mentale peut être réduite par des gestes simples et une sensibilisation à votre propre rythme.

La flexibilité mentale au service de vos projets 

Vivez-vous comme un pantin ou comme une personne douée de raison qui utilise son intelligence et sa créativité pour se construire un futur en posant des fondations solides dès à présent ?

La majorité de la population réagit suivant les événements qu’ils traversent. Ils avancent au gré du vent et parfois par temps calme, tout s’arrête.

La machine à bien être.

Les milliers de neurones qui composent votre cerveau ne demandent qu’une stimulation de votre part, pour améliorer votre expérience. Le cerveau est flexible et plus vous l’exercer, plus il s’assouplit.

Nul besoin d’attendre que les situations agréables surgissent dans votre vie pour l’éclairer.

Même si ce n’est pas toujours le cas, vos souvenirs sont vos alliés pour l’exercice que je vous propose.

La flexibilité au service de vos besoins.

Imaginez votre espace intérieur comme un immense centre commercial dont les étals sont garnis généreusement, aiguisant votre appétit de consommateur. Les couleurs chatoyantes, les parfums envoutants attirent votre regard. Le chant, des sirènes, active votre imagination et tel Ulysse, vous dirigez votre barque dans les méandres des merveilles de votre esprit.

Si la description ci-dessus a suscité des ressentis particuliers en vous, vous commencez à assimiler l’idée que je vous soumets aujourd’hui.

Créez ce dont vous avez besoin

Pensez aux activités de la journée, pour chacune, cherchez l’état interne le plus approprié. Vous pourriez opter pour de la joie, du calme, de la créativité, du bien-être, de l’ouverture, de l’écoute, tout est à portée de votre main.

N’attendez plus que les circonstances favorables se présentent pour vous sentir bien, par contre, il y a de fortes possibilités, si vous incarnez un état d’excellence, que la vie soit mieux disposée à votre égard et que les opportunités se présentent.

Entrainez-vous à la flexibilité

Faites une liste d’état de conscience et entrainez-vous à les ressentir de manière précise. Détaillez-les précisément. Leur localisation dans le corps, leurs mouvements, décrivez-les sensoriellement. Quand le processus devient fluide, Choisissez, le ou les ingrédients nécessaires à la réalisation de vos tâches quotidiennes.

En séance de coaching, j’utilise un cocktail de pleine présence, clarté mentale, concentration et de paix.

Qu’allez-vous expérimenter d’agréable à partir de maintenant ?

 

 

 

Dépassez vos limites sans vous épuiser

Les secrets de la Loi de l’effet inverse, 6 astuces pour multiplier vos résultats et éviter l’épuisement.

Tout effort mental produit l’effet inverse. Cette loi mainte fois citée, mais peu intégrée dans les faits. Comment faire usage de la connaissance de cette loi dans la préparation mentale. Il ne suffit pas de rétropédaler ou faire l’inverse de ce que l’on pratiquait avant pour résoudre les conflits internes.

En tant que sportif amateur, d’une discipline peu médiatisée, (haltérophilie) j’ai dû m’entrainer seul et ne compter que sur mes propres moyens. Sans soutien psychologique ni entraineur, j’apprenais par tâtonnements et parfois dans la douleur alors qu’une approche plus codifiée entourée de personnes qualifiées m’aurait permis de progresser plus rapidement.

Car s’il est aisé de comprendre que l’effort mental excessif nuit à l’efficacité. Vous avez surement expérimenté le fait de vouloir vous endormir sans y parvenir et déployer de l’énergie excessive en vous retournant dans le lit, essayant la respiration ou autres méthodes, puis regardé le réveil en pensant «  si je ne dors pas demain ça va être la carta » puis finir par vous endormir, dans les meilleures options, épuisé.

La passion est une source de motivation, le passionné continue sans relâche. Quand vous vous impliquez dans une tâche et qu’elle vous tient à cœur. La tendance est souvent à l’excès.

Le jeu intérieur

Vous connaissez cette petite voix, qui critique « tu devrais faire comme si ou comme ça, t’es vraiment nul, secoue-toi, etc. Cette voix est l’amie de l’effet inverse et l’ennemie de l’efficience et du succès. Tim Gallwey (Inner Game), dans le jeu intérieur, nomme cette voix le self 1 qui est celle de la critique par rapport à self 2 qui est celle de la clarté et de la sagesse.

Je suis certain que, vous aussi, avez traversé ce genre d’expérience et surement plus d’une fois. Ce piège est vécu par des millions d’individus, peu importe leur activité.  Dès l’enfance, la pression scolaire, celle des parents, le désir de résultats vous ont poussé dans ce travers, déclenchant la machine à blâmes.

Quand le désir devient obsessionnel, on risque de glisser doucement dans les filets de la confusion et perdre toute notion de la réalité. La fatigue et la saturation guettent.

Le chemin vers la réussite est un marathon, non un sprint, et j’ai payé durement ce prix par des dépressions saisonnières, des blessures, des creux énergétiques abyssaux jusqu’au moment où le corps lâche.

Vouloir s’améliorer et dépasser ses limites, c’est cool, ne pas respecter l’intégrité du corps et ses rythmes vous entraine dans une spirale sans fin.

Solutions :

Définir des objectifs précis et faire des étapes digestes et réalistes. Chaque étape est le tremplin qui vous entraine vers le suivant et nourrit la satisfaction de voir le projet avancé.

Planifiez les actions à entreprendre pour finaliser le projet, le domaine importe peu, car Le processus est semblable pour tout but. Établissez un programme réaliste ainsi qu’un délai pour parvenir au terme. Évaluez régulièrement ou vous en êtes. N’hésitez pas à réévaluer les délais, si besoin. L’important est de parcourir le chemin jusqu’à son terme.

Respectez-vous : Le corps a besoin d’énergie, nourriture, eau, oxygène, repos. Le mental lui aussi a des besoins, dans une course, la séparation corps, esprit n’existe pas. Les deux doivent coopérer pour des effets optimums. L’esprit se nourrit de calme, de pensées positives.

Aimer ce que l’on fait : Les résultats génèrent de la joie et du plaisir. Si vous prenez du plaisir, y compris dans les moments difficiles parce qu’ils font partie de l’expérience, alors le voyage sera savoureux et surtout une fois atteint, vous serez prêt à aller au-delà. Donnez du plaisir à un enfant à faire une tâche, il la poursuivra toute sa vie.

Progressez en vous reposant : Une fois l’action terminée, le cerveau ne s’arrête pas de fonctionner. Il continue de travailler pour vous, y compris dans les activités sportives. Une étude a démontré que les fibres musculaires se développaient après l’effort dans les phases de repos. Sachez faire des breaks pour revenir régénérer dans la course.

Faites confiance à l’inconscient : L’esprit inconscient est une mine d’informations, sa capacité d’environ 1 million de milliards de bits vous offre des services innombrables à partir du moment où vous l’utiliser. Pendant vos rêves, le cerveau, range, classe, organise, simplifie. Il répond toujours aux questions, y compris les plus stupides ou négatives. Donc, posez-vous des questions qui élèvent.

Dans un prochain article, j’évoquerai le style de questions qui boostent le système nerveux et l’attitude pour recevoir les réponses.