La surcharge mentale, un état qui touche un grand nombre de personnes, en particulier les femmes.

C’est une problématique complexe associée à un désir ardent de tout gérer à la perfection.

Imaginez une fresque mentale, où chaque nuance de la charge mentale est une couleur vivante. Vous voyez des personnes jongler avec une multitude de responsabilités, tels des jongleurs qui manient des objets variés.

 Ces objets symbolisent les différents aspects de leur vie, et dans les mains de ces experts, ils semblent danser avec fluidité, mais leur système nerveux est suractivé.

Cependant, comme un débutant qui essaie d’imiter ces artistes talentueux, la réalité se manifeste. Coordonner toutes les tâches devient vite épuisant, le cerveau atteint rapidement la saturation.

Le phénomène, naturel dans la période d’apprentissage, peut devenir perturbant lorsque la surcharge mentale devient chronique. Notre cerveau n’est pas conçu pour gérer plusieurs activités simultanément.

Chacun de nous est unique, et la manière dont nous réagissons au stress varie d’une personne à l’autre. Apprendre à prendre du recul face à la surcharge mentale est un processus d’apprentissage. Il existe des techniques pour calmer ce tourbillon mental, mais elles ne nous sont pas enseignées à l’école.

Pour rétablir l’harmonie, commencez par mettre en pause vos appareils électroniques. Fermez les yeux un instant et respirez profondément. Ressentez la sensation de calme qui vous envahit.

Pratiquez l’art de l’ennui, permettez à votre cerveau de se réinitialiser et de se ressourcer. Laissez le calme vous envelopper comme une douce brise.

L’anticipation est un signe d’intelligence. Avant de répondre à un appel ou de réagir à un e-mail, faites un STOP. Prenez une grande inspiration, évaluez la situation, réfléchissez aux avantages de chaque action que vous devez effectuer, puis passez à l’action de manière éclairée.

Reconnectez-vous à votre corps, de la tête aux pieds. Prenez conscience de chaque partie de vous, ressentez la vie qui circule en vous. Incarnez pleinement votre corps, ancrant votre conscience dans l’ici et maintenant.

Enfin, fermez les boucles. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi votre esprit revient sans cesse à des tâches inachevées ? C’est l’effet Zeigarnik, qui signifie que votre cerveau conserve en mémoire les tâches non terminées. Imaginez-le comme des fenêtres ouvertes sur un ordinateur, et plus vous en ouvrez, plus il devient difficile de se concentrer.

Apprenez à terminer ce que vous commencez. Fermez les boucles mentales pour permettre à votre cerveau de se libérer. La fatigue mentale peut être réduite par des gestes simples et une sensibilisation à votre propre rythme.